On est samedi soir, je viens de me coucher. Ce soir, tu ne dormiras pas à la maison, mais avec maman chez des amis. Je n’ai pu vous accompagner et je reste seul dans cette grande maison vide.
Je suis sur le point de m’endormir, mais d’un coup, j’entends des feux d’artifice résonner au loin. J’écoute bien, quel événement peut-on bien fêter ce soir ? Mais il n’en est rien, aucune fête ne sévit dans les rues, ce n’est que mon cœur battant la chamade à l’envie de te prendre et de te serrer dans mes bras.
Tu es moi, tu es lui, tu es elle, tu es tous et tu es la seule. Ta présence me suffit à tout le reste.
Te savoir à côté de moi me rassure et emplit mon cœur de milliers d’étoiles.
Voilà déjà plus d’un an que tu es dans ma vie et chaque jour qui passe, mon amour et ma fierté pour toi ne cessent de grandir. Comment t’aimerai-je demain, dans un an, dans dix ans ? Je ne sais pas, mais ce que je sais, c’est que je serai toujours là pour toi et que tu resteras pour toute la vie une partie de moi, la meilleure partie.
Si je devais partir demain, je saurais au moins que je n’aurais pas vécu pour rien, mais pour donner la vie à la petite merveille si parfaite que tu es. Tout est beau en toi, tes qualités, tes défauts, tous ce qui fait de toi un être si unique et si magique.

De loin, je pense à toi,
De loin je t’envoie tout mon amour.

                                                                                                                Ton papa qui t’aime

Encore un fou rire de Chloé, on ne s'en lasse pas. (la lumière est un peu violente, mais le principal, c'est de l'entendre)